Il se situe au fronton de toute action de protection de l’environnement en général et du PV en particulier au travers des collectivités territoriales décentralisées. L’abandon du PV a fait pendant longtemps croire à tort ou à raison au manque d’intérêt à l’égard de cette nature sauvage. Mais avec les travaux de réhabilitation depuis le mois de Mai 2010, les pouvoirs publics ont réaffirmé leur rôle en matière de protection de l’environnement en général et du PV en particulier, et confirmé ainsi sa valeur (économique, sociale et environnementale).