L’espace public est empli de signes, c’est un fait aisément constaté. Cependant, la quantité fait-elle automatiquement le danger ? Peut-on considérer une autre manière de vivre les signes ?
Page suivante : 2.2.1 Nouvelle forêt, nouveaux parcours
Retour au menu : L’ART DE L’ESPACE PUBLIC : Esthétiques et politiques de l’’art urbain