L’HEMF exclut la possibilité de refaire les stratégies d’un investissement, en se
basant sur l’information disponible, qui ont des rendements attendus excédant ceux du
marché pour un niveau du risque systématique fixé ; en d’autre terme l’investisseur ne
doit pas avoir le souhait de battre le marché. Si à court terme l’investisseur réalise des
rendements anormaux, ce ci n’est pas dû à la stratégie du commerce utilisée ou aux
ressources dépensées sur les analyses mais c’est un résultat de chance : Selon l’HEMF la
stratégie de placement la plus adéquate est la stratégie passive : « vendre et détenir ».
Cependant, selon la finance comportementale, le marché n’est pas toujours efficient
et les investisseurs qui font mieux que l’utilisation moyenne de l’information disponible
sont capables de réaliser des rendements anormaux. Sur cette lumière, il sera profitable
donc de rechercher les bonnes opportunités de placement et de dépenser les ressources sur
l’enquête de la mauvaise évaluation du prix qui se produit de temps en temps.
Les stratégies de commerce actives semblent être meilleures que celles passives : les
investisseurs actifs doivent toujours garder à l’esprit qu’ils peuvent être victimes des biais
comportementaux et des heuristiques ; de ce fait , réaliser des rendements élevés est
possible et ce ci non seulement grâce à une meilleure analyse et stratégies mais également
à un meilleur autocontrôle.
La finance comportementale n’ignore pas totalement l’utilité des outils analytiques
traditionnels et les méthodes d’évaluation dérivées de la finance traditionnelle mais elle
insiste que cette dernière doit être vu comme un benchmark théorique qui à besoin d’être
enrichi par les divers aspects de la psychologie des investisseurs et les actions humaines.