Si les marchés sont efficients alors le coût des fonds est toujours évalué correctement.
La situation actuelle du marché ne doit avoir aucune influence sur la structure du capital
des entreprises : les sociétés ne doivent pas être sur motivées à réaliser des offres du fonds
supplémentaires quand ils sont potentiellement sur évalués et ne doivent pas racheter
leurs réserves quand ils sont sous évalués.
La finance comportementale, de sa part, suppose que les évaluations élevées du
marché constituent des motivations pour augmenter les fonds et vis versa ; les baisses
évaluations du marché stimulent les entreprises à racheter leurs réserves. La finance
comportementale joue un double rôle important, d’une part, elle aide à choisir le moment
optimal pour une nouvelle offre ou un nouveau rachat. D’autre part, elle aide à planifier
l’acquisition d’une autre entreprise dans un appel d’offre public.
Les aspects psychologiques sont aussi importants dans la communication avec le
marché. En effet : les individus sur réagissent toujours aux bonnes informations et sous
réagissent aux mauvaises, de plus, ils accordent autant d’attention aux rapports
descriptifs qu’aux données statistiques ou numériques. Enfin, ils sont sensibles au contexte
dans lequel l’information est donnée.
On ne doit pas oublier les directeurs des entreprises, ces derniers peuvent être sujet
des biais comportementaux : par exemple, des faux jugements de la probabilité
accompagnée par la sur confiance peut conduire à sous estimer le risque d’un projet de
placement.