Nous nous sommes intéressées à comprendre ce que les expériences affectives des détenus en milieu carcéral ouvrent pour eux, par rapport à eux-mêmes, aux autres et au monde.
Nous supposons que les détenus sont des acteurs impliqués dans des rencontres avec d’autres qui produisent des expériences affectives voire sexuelles.
La privation de liberté n’entraîne pas une absence de besoin d’affectivité.