Modifiée ultérieurement en « efficacité professionnelle » par Michael Leiter et Christina Maslach. C’est la dimension d’auto-évaluation du syndrome. Elle se traduit par la dévalorisation du travail lui-même (le travail est inintéressant, inutile, inefficace à changer le problème de fond, etc.), par un doute quant à sa valeur professionnelle, un sentiment d’incompétence, de l’auto-dévalorisation, une déflation de l’estime de soi, des sentiments de culpabilité, etc.
Dans un premier temps, le stress provoque soit une diminution de l’accomplissement personnel soit l’épuisement émotionnel, qui à son tour entraîne la dépersonnalisation pour aboutir à la réduction de l’accomplissement personnel.