entre le stress perçu et le soutien organisationnel perçu.
L’équation « M = b0 + b1 X » annonce alors les hypothèses suivantes :
a. Valeurs prédites : (constantes), SOTOTAL
L’analyse de la régression linéaire simple décèle une relation statistique significative (F (1,59)=8,462, p < 0,05) entre la variable médiatrice « stress perçu » et la variable indépendante « soutien organisationnel perçu », entrainant simultanément le rejet de l’hypothèse nulle « H0 », tandis que le R2=0,125 atteste que le soutien organisationnel perçu contribue à prédire plus de 12% de la variation du stress perçu.
Coefficients (a)
a. Variable dépendante : SPTOTAL
Aussi, et si à l’image la deuxième condition énoncée par Brauer (2000) « X a un effet sur M » la variable « soutien organisationnel » a bien effet sur la variable « stress perçu », ici encore le coefficient standardisé (Bêta) indique une corrélation négative entre ces deux variables. En outre, la hiérarchisation des échelles de soutien organisationnel perçu et stress perçu n’étant pas inversée, le signe négatif du coefficient de régression signifie qu’un faible niveau de soutien organisationnel perçu favorise un degré élevé de stress perçu.
Cette analyse statistique s’inscrit dans la logique des conceptualisations de « soutien organisationnel perçu » et « stress perçu » précédemment évoquées et se conçoit d’autant plus en considérant le contexte de restructuration manifeste lors de la passation des questionnaires.
Enfin les coefficients non standardisés (A) précisent l’équation de la droite de régression « M = b0 + b1 X » soit « Stress perçu = 55,458 – 0,602 ».