– Mode objet (structure vecteur)
Dans ce mode, les données graphiques d’affichage sont basées, comme points, lignes (courbes), ou secteurs avec des attributs. Les lignes ou les arcs sont des séries de points commandés (c’est-à-dire par des coordonnées cartésiennes X et Y), également les secteurs ou les polygones sont stockés comme listes numérotées de points, mais en faisant le commencement et la fin dirige le même nœud que la forme est fermée et définie. Ce mode peut définir de haute résolution, mais il exige des données plus complexes avec un espace inferieur requis de mémoire interne.
Fig2.3: Vue en mode vecteur (KOELN et al 1994).
– Mode image (structure RASTER)
Ce système regroupe les données graphiques par trame ou image en les faisant montrées, localisées ou stockées en employant une matrice ou une grille des cellules. Chaque cellule ou Pixel a des données discrètes d’attribut assignées à elle, dont la taille des pixels joue un rôle essentiel dans la résolution de l’image. Généralement, les données de trame exigent moins le traitement que des données de vecteur, mais elles consomment plus d’espace de mémoire interne (KOELN et al 1994 ; HUXHOLD, 1991).
Fig2.4 : Vue en mode Raster (KOELN et al 1994).
– Comparaison entre les deux modes
Le tableau 2.1 présente une comparaison résumée entre le mode VECTEUR et le mode RASTER.
Aucunes des deux formes de présentation des données ne convient au mieux pour toutes les applications d’un SIG, et le choix de la forme et du mode de traitement sera en fonction du type de phénomène à étudier. On ajoute aussi que les informations ou les données modelées des deux systèmes peuvent être converties d’un mode vers un autre et vice versa; les données de trame peuvent être vectorisées et vice versa. Il existe beaucoup de systèmes permettant de modeler des données sous la forme de trame à recouvrir sur des données de vecteur et vice versa.
Tableau 2.1: Comparaison entre le mode VECTEUR et le mode RASTER.
(KOELN et al 1994).