Cette situation existe quand que les habitants considèrent la représentation 3D comme une assurance du devenir du quartier. Ce type de dispositif peut augmenter le risque de l’ « image contractuelle ». Ce risque de a une forte implication des habitants.
Alexina Fornasari(29) a expliqué « Des mesures doivent donc être insérées dans le dispositif pour accompagner les citoyens dans une posture du possible et non pas de l’assurance. Cet accompagnement, quelque forme qu’il prenne, est indispensable pour deux raisons, l’une de perte de confiance des citoyens dans tout processus de participation et de rupture du dialogue urbain, l’autre de rassurance de l’autorité politique de porter crédit à la participation citoyenne sans risquer de perdre la confiance de ces citoyens et de se confronter aux injonctions citoyennes de voir le projet se réaliser exactement tel qu’il a pu être représenté. »
29 Alexina Fornasari. 2011 – VERS UN URBANISME PARTICIPATIF AUGMENTE ? Mémoire de fin d’études. Paris : Institut Français d’Urbanisme – Université de Marne-La-Vallée. P : 43
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