Pour mener notre enquête, nous avons limité notre zone d’étude aux lycées de la
Daïra de Tizi-Ouzou. Cependant, la population concernée par cette enquête (élèves de
la filière lettres et langues étrangères) ne se trouve que dans cinq lycées à savoir : EL
Khansa, Amirouche, AbaneRamdane, Fatma N’Soumer et Stambouli. Donc, nous
avons limité notre échantillonnage aux populations de ces lycées.
Pour constituer notre échantillon, nous avons opté pour la méthode du hasard. Nous
avons mis dans une boîte les noms des cinq lycées. Etant donné qu’il n’existe qu’une
classe de langue étrangère dans chacun des lycées de la population de l’enquête, nous
nous sommes retrouvés dans l’obligation de tirer trois lycées, et les noms de ces trois
lycées sont : Amirouche, El Khansa et Stambouli.
Nous sommes conscients que pour que notre échantillon soit représentatif, nous
devons appliquer la méthode de l’échantillonnage par quotas, cependant, vue la
spécificité de notre échantillon (une seule classe de langue étrangère par
établissement), nous n’avons pas pu appliquer cette méthode, c’est-à-dire que nous
avons pris tous les élèves de chaque classe de chaque lycée.
Ainsi, notre échantillon est constitué de soixante-dix-sept unités (élèves), réparties
sur les établissements comme suit :
– lycée El Khansa : 27 élèves.
– lycée Stambouli : 25 élèves.
– lycée Amirouche : 25 élèves.
En plus du corpus composé de trois exercices et une rédaction écrite donnés aux
élèves, nous avons décidé de faire appel à l’expérience de leurs enseignants, qui ont
une longue pratique pédagogique pour un témoignage, quant au maniement et aux
usages faits des connecteurs par leurs apprenants. Donc, à partir de là, nous avons
constitué un échantillon enseignants au cycle du secondaire de la Daïra de Tizi-Ouzou.