La question de la réduction de capital social par retrait forcé d’actions entretient un
lien direct avec le droit de chaque actionnaire de faire partie de la société. L’article 36 de la
deuxième directive pose certaines conditions au retrait forcé d’actions (§ 1), mécanisme que
l’on rencontre dans les droits nationaux français et allemand (§ 2).