L’Etat ne cache pas son intention à terme de se désengager totalement de la prise en charge des risques climatiques agricoles, désengagement compensé dans un premier temps par des subventions afin de laisser du temps pour trouver une solution alternative efficace et pérenne (Section 1). Les assureurs mettent d’ailleurs progressivement en place différentes garanties afin de protéger les agriculteurs contre ces risques, certains risques posant toutefois plus de problèmes comme par exemple le risque sécheresse que les assureurs ont bien du mal à modéliser (Section 2).