Le transit des produits centrafricains et tchadiens en territoire camerounais s’appuie sur
des piliers conventionnels qui constituent les sources du droit d’accès de ces deux Etats au port
maritime de Douala (section 1) et qui déterminent, conjointement avec des instruments
nationaux, les modalités d’expression de ce droit, c’est-à-dire sa mise en oeuvre (section 2).