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CONCLUSION

Les progrès récents réalisés dans le domaine de la biologie moléculaire ont permis à plusieurs études de rapporter des associations positives entre les polymorphismes des gènes des molécules impliquées dans le processus inflammatoire et la réponse immunitaire et la susceptibilité à la N-IgA.

Dans cette étude, le génotype A/A (+49) de l’exon 1 du gène CTLA-4 et le génotype 1/1 du gène de l’IL1-Ra semblent intervenir comme facteurs de prédisposition à la maladie de Berger. L’étude du polymorphisme des gènes d’autres molécules immunorégulatrices, permettra de mieux définir les facteurs génétiques de l’hôte au cours de la N-IgA.

L’absence d’association entre les polymorphismes des gènes de l’IL1 α, IL1 β et ApoI/Fas mérite d’être confirmée à travers l’étude d’une population présentant un effectif plus important.

De telles études pourront être utiles pour une meilleure compréhension de la pathogénie de la N-IgA et pour le développement de nouvelles stratégies thérapeutiques vis-à-vis de cette pathologie.

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