L’on fait constater que depuis l’antiquité jusqu’à ce jour, chaque peuple a sa culture propre à travers laquelle il s’identifie et cherche à tout prix à confirmer son édite à travers cette culture qu’il peut facilement communiquer aux autres à travers les moyens appropriés tels que : L’écriture, la radio, la télévision, la parole, la danse, la musique, la religion, etc.
A travers lesquelles peut se faire une publicité qui fait partie intégrante d’une culture. Il en est ainsi de la ville de Kinshasa (peuple Kinois) qui s’est caractérisé par la culture de la musique populaire dans la publicité qui est devenue même son point de référence.
Cependant, cette communication pour qu’elle soit profitable au public, elle doit reposer sur les respects stricts des normes en la matière qualifiées sous le nom de l’éthique et la déontologie de la communication qui trace une ligne de conduite devant suivre chaque personne appelé à transmettre le message au public en l’occurrence, les journalistes.
En revanche, l’on constate avec stupéfaction que la publicité qui est devenue une culture pour les Kinois s’applique en violation de ses règles.
En effet, le peuple Kinois s’identifie par la musique à la quelle il recourt chaque fois qu’il veut faire entendre son opinion ou faire assoir son idéologie.
Cette façon d’agir ne peut être que préjudiciable à la population et par conséquent, susceptible de produire les effets néfastes pour cette dernière. Telle que la manipulation, la machination ou la tromperie, l’aliénation des mentalités qui sont les précédent de la disparition des mœurs et de la bonne culture.
Face à cette réalité notre réaction a aboutie à faire quelques recommandations à la fois à l’Etat congolais qui doit renforcer sa politique de contrôle des médias, et aux émetteurs qui sont en générales les journalistes qui sont sensés mieux connaitre les règles de la déontologie et l’éthique de la communication.
De ne jamais se laisser tromper par n’importe qui et pour n’importe quel motif. Mais de faire montre de leur capacité et de leur savoir faire par le respect de celle-ci.
Et en fin à la population Kinoise de ne pas se fier à n’importe quelle publicité, mais de juger toujours son bien fondé avant d’en faire usage. Car, beaucoup de mensonges se font passer à travers la publicité. C’est alors que sera sauver la culture Kinois qui traverse la période de la corruption des mœurs et que sera considéré le métier du journaliste.
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