Dans une ville, les émissions de chaleur ne sont pas les mêmes que dans les zones inhabitées, sans compter l’apport de chaleur dû à l’homme. Les personnes résidant dans les villes avaient également plus de risque de décéder que les autres. La surmortalité due à la chaleur se concentre dans les grandes villes (Besancenot, 2002 ; Ben Boubaker, 2010). L’orientation et l’exposition de l’habitat est importente, le fait d’avoir une chambre orientée vers le sud ou une ouverture (fenêtres) vers le sud étaient des facteurs de risques.