Chez une population contrôle, l’étude a pour effet de vérifier la reproductibilité des paramètres cinématiques et énergétiques de la marche ; au sec et en immersion à deux profondeurs différentes lors d’un TM6 Ces épreuves de marche (test et re-test) ont été réalisées à une semaine d’intervalle.
Le niveau d’immersion du sujet fait diminuer la vitesse d’exécution, à partir de ce constat, je me suis interrogé sur les valeurs de l’ICP. Il existe peut-être un rapport entre les valeurs d’ICP et les valeurs de vitesses comme il existe un rapport entre les niveaux d’immersion et la vitesse. Lors du TM6, la FC en immersion est peut-être inférieure à celle trouvée au sec.
Chez le groupe pathologie, la marche au sec, quand elle a été étudiée, nous indique que la vitesse de locomotion est diminuée par rapport à des sujets exempts de toute pathologie. Peut-être que ce rapport qui régi les déplacements en immersion n’existe pas pour toutes les pathologies. En terme de coût énergétique, l’ICP est peut-être significativement plus élevé chez les sujets pathologiques.
Suite aux résultats, une modélisation des performances des sujets sains et pathologiques sera construite.