Nous rédigeons le document XML.
Comme nous l’avons déjà évoqué plus haut, la DTD doit être respectée scrupuleusement.
Si au lieu de saisir « pcmn », nous saisissons « pmcn », le parseur décèlera l’erreur qui sera une
erreur bloquante, c’est à dire qu’aucune opération n’est possible tant qu’il n’y a pas correction.
Des deux premières lignes du document XML , la première est la déclaration XML qui spécifie
quelle est la version XML utilisée (1.0) et le type d’encodage du document (ISO-8859-1).
La seconde ligne indique que l’élément racine est « ABC », et précise où se trouve la DTD dans le
système de fichiers de l’ordinateur.
L’ensemble des éléments sont inclus dans l’élément racine ABC qui est la première balise
ouverte.
Nous avons ensuite l’élément client qui inclut l’élément commande qui inclut les éléments mesurage
et charge_directe.
La balise /commande est refermée après l’élément charge_directe, la balise /client est
refermée après l’élément /commande.
Au même niveau hiérarchique que l’élément client, l’élément activité qui inclut l’élément composition_activite.
La balise activité est refermée après l’élément composition_activite.
L’élément famille_cout inclut l’élément composition_famille; la balise /famille_cout est
refermée après l’élément /composition_famille .
L’élément charge_indirecte inclut l’élément imputation , la balise /charge_indirecte est refermée après l’élément /imputation .
Enfin, le dernier élément pcmn qui est lui aussi au même niveau hiérarchique que les éléments client, activité, famille_cout, et charge_indirecte.
La balise de l’élément racine /ABC est refermée.