Le rejet d’une planification par le haut suppose l’adoption des méthodes nouvelles de planification et de la gestion de l’action publique permettant une meilleure concertation entre les autorités centrales et les acteurs locaux. Il s’agit particulièrement des méthodes qui peuvent assurer une cohérence entre les différentes interventions publiques. Il va sans dire que le contrat de plan, en tant qu’expression d’articulation entre la planification de l’Etat et celle de la région, constitue un mécanisme pertinent, et ce, compte tenu des principes qui le sous-tendent (A) et les actions négociables qui font son objet (B).
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