Après avoir fixé ses objectifs, la convention a défini les règles devant régir ses actions.
Ces principes formulés comme des souhaits ou des exhortations par l’emploi de conditionnel sont au nombre de quatre (04) :
– Les parties « devraient » s’assurer de la participation des populations et des collectivités locales à la prise des décisions concernant la conception et l’exécution des programmes de lutte contre la désertification et/ou la sécheresse
– Améliorer dans un esprit de solidarité et de partenariat, la coopération et la coordination au niveau sous régional, régional et international
– Instituer, dans un esprit de partenariat, une coopération entre les pouvoirs publics à tous les niveaux, les collectivités, les organisations non gouvernementales et les exploitants de terres en vue de promouvoir une utilisation durable des ressources
– Prendre pleinement en considération la situation et les besoins particuliers des pays en développement touchés et tout spécialement les moins avancés d’entre eux. Les principes qui résident dans la protection de la productivité des terres, l’approche intégrée « développement durable/environnement » ainsi que l’instauration du partenariat international prolongé par une coopération locale entre administrations et populations concernées.
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