L’innovation est une constante de l’assurance comme l’explique Luc Mayaux (223). La nouveauté est le moteur de l’assurance. En ce qui concerne les risques environnementaux, les assureurs redéfinissent les principes de l’assurance, telle que pratiquée de manière traditionnelle (Titre 1). Par exemple, l’assurance est au centre de la mise en place de nouveaux programmes de mécénat à destination des pays en voie de développement qui sont extrêmement vulnérables au climat en raison de la position géographique. A travers une prise de conscience des acteurs du secteur quant au besoin d’évoluer et de se préparer aux conséquences du changement climatique, l’assurance devient source d’initiatives au niveau mondial afin d’intégrer le changement climatique à son activité et d’en réduire, si tant est que cela soit possible, les effets négatifs de son activités sur l’environnement. (Titre 2)
223 «Traité de droit des assurances, t. III, Le contrat d’assurance, 2e édition »