La pratique actuelle de l’aménagement du territoire encourager instamment la coopération entre les acteurs territoriaux. Un large part du processus des projets urbains s’attache à définir les enjeux, bien expliquer les projets proposés et réaliser d’une communication répondant à ces impératifs à la fois stratégiques et démocratiques. En outre, la modélisation 3D et les nouveaux outils de diffusion et de communication sur les projets urbains (sites Internet) favorisent le recours à l’image comme support des discours sur l’espace en projet.
La nature de l’information produite par la communication des projets offre des potentialités accrues pour la compréhension de leurs impacts sur la vie urbaine, Cependant la troisième dimension constitue évidemment une avancée importante dans le monde du l’urbanisme comme nous avons vu dans les parties précédentes. Il est important aussi d’avoir un critique sur la simplification de la mise en trois dimensions des projets car, si la 3D a un intérêt large pour la compréhension d’un futur projet urbain il ne faut pas non plus « mentir » sur les aspects techniques ou dimensionnels. Utiliser la 3D est intéressant certes, mais il est nécessaire de le faire de façon rigoureuse.
Nous allons donc, parler dans cette partie de l’intérêt et les points forts de la 3D comme un outil de concertation, compréhension et de participation entre l’urbaniste et les acteurs du projet, et dans le deuxième nous parlons des faiblesses et les points négatifs.
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