L’élaboration de cette étude relative à l’«Incidence de la privatisation sur la performance des entreprises publiques au Cameroun» n’a pas été un exercice aisé eu égard aux difficultés pour obtenir certaines informations et données. Toutefois, grâce à la sollicitude et à la disponibilité de certaines personnes qui ont bien voulu nous fournir des informations, nous orienter dans nos recherches, nous encadrer, nous donner des conseils, le présent travail a été possible. C’est pourquoi, dans l’impossibilité de citer ici, tous ceux qui ont apporté des contributions, nous voudrions témoigner notre profonde gratitude, spécialement à :
– Pr. KAMAJOU François pour avoir accepté de superviser ce travail en dépit de ses multiples occupations, pour les conseils, l’encouragement et la patience dans les lectures et les corrections ;
– Dr NOULA Armand Gilbert mon encadreur, pour ses encouragements, son soutien, ses précieux conseils, la confiance qu’il m’a accordée et la grande liberté qu’il m’a laissée dans la réalisation de ce travail. je lui dis merci d’avoir renforcé mes connaissances et aiguisé mon sens critique ;
– Dr ISSAOUI Fakhri, enseignant universitaire en sciences économiques dans les facultés tunisiennes, pour sa disponibilité et ses éclaircissements forts en matière d’utilisation du modèle économétrique SUR (Seemingly Unrelated Regressions) ;
– la Direction Générale de l’ARSEL, la CTR, l’INS et la SNI sans lesquelles ce mémoire n’aurait jamais vu le jour. Je leur dis merci pour leur accueil et pour avoir mis à ma disposition les données sur les entreprises privatisées au Cameroun ;
– Mireille LEFEBVRE pour tous les moyens logistiques et financiers investis pour la réalisation de ce travail ;
– Ma famille et surtout mes parents pour leur soutien moral, leurs encouragements et leur patience durant les étapes difficiles de ce travail ;
– Mes compagnons de travail réalisant aussi leurs mémoires, pour l’entraide dans les moments difficiles ;
– Enfin, à tous ceux que je n’ai pas pu mentionner et qui ont apporté une pierre à l’édifice de ce mémoire, je réitère ma profonde gratitude : que le Seigneur vous bénisse abondamment!