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Remerciements

Nous tenons tout d’abord à remercier le directeur et les directrices des écoles élémentaires de Frouard pour nous avoir accueillies au sein de leurs établissements. Nous remercions ensuite les instituteurs et institutrices des écoles pour leur coopération et leur amabilité. Merci à Monsieur l’inspecteur de Pompey qui nous a permis de réaliser cette étude, en […]

I. Introduction

Le domaine de la pragmatique a émergé au XIXème siècle. Il a fait naître la question de la compréhension et de la production du langage en contexte social. Le langage se développe de façon innée dès les premiers mois de la vie, et continue de progresser continuellement jusqu’à l’âge adulte. Malgré un ensemble de recherches […]

II. La langue humaine

1) Le langage est-il propre à l’humain ? 2) Comment le langage est-il réalisable ? 3) Comment la compréhension du langage est-elle possible ? Page suivante : 1. Le langage est-il propre à l’humain ?Retour au menu : VALIDATION QUALITATIVE DU TOPL-2

1. Le langage est-il propre à l’humain ?

Tous les êtres humains ont un langage, propre à chaque culture. Le langage est un moyen de communication propre à l’espèce humaine. Il existe chez tous les humains une aptitude linguistique inscrite dans notre patrimoine génétique. Le langage aurait émergé il y a environ deux millions d’années avec l’homo erectus. Rondal (1999) explique que ce […]

2. Comment le langage est-il réalisable ?

Parler est quelque chose de naturel et pourtant, la production de mots découle d’une mécanique de grande précision. Les poumons fournissent l’air qui fait vibrer les cordes vocales ; se sont ces vibrations qui sont à l’origine de la production des sons. Le son sera alors modifié par l’intervention des organes mobiles tels que la […]

3. Comment la compréhension du langage est-elle possible ?

Dès la naissance, le cerveau humain est constitué d’au moins cent milliards de neurones, dont chacun d’entre eux entretien entre 10 et 1000 connexions avec d’autres neurones (Rondal, 1999). Le langage provient essentiellement de l’hémisphère gauche, qui traite les informations séquentielles. L’hémisphère droit traite les informations spatiales. L’aire de Broca, située dans le cortex frontal […]

III. Historique de la pragmatique

La pragmatique est une discipline récente, son étude ayant débuté au XIXème siècle avec le courant philosophique américain représenté par William James, John Dewey et Richard Rorty. Elle instaure un champ de recherche pour diverses disciplines : la psychologie, la philosophie, la sociologie, la linguistique et bien d’autres. Le terme pragmatique dérive du grec signifiant […]

1. Charles Sanders Pierce

La pragmatique linguistique a ainsi émergé au début du XIX siècle avec Charles Sanders Peirce et son étude du processus sémiotique. Il a défini une triade du signe constituée d’un representamen, d’un objet et d’un interprétant. Le signe est la chair du langage, avant même que la syntaxe ne l’organise. Le representamen est le signe […]

2) Charles Morris

En 1938, Charles Morris distingue la syntaxe (qui est l’ensemble de règles qui combinent les signes entre eux), la sémantique (qui est l’ensemble de règles qui relient un signifiant et un signifié) et la pragmatique du langage. Il définit la pragmatique comme l’étude des relations entre les signes et leurs utilisateurs. Pour lui, elle consistait […]

3) John Austin

En 1955, John Austin prononce les Wiliam James Lectures et fonde la philosophie du langage, sans se douter que les Wiliam James Lectures seront le centre de la pragmatique linguistique pendant plus de trente ans. Austin propose une première classification, selon laquelle la signification des mots est influencée par le contexte dans lequel ils sont […]

4) John Searle et Daniel Vanderveken

Searle et Vanderveken définissent la théorie des actes de langage comme étant une théorie logique générale des actes de discours caractérisant la structure logique de l’ensemble de toutes les forces illocutoires possibles, ainsi que les conditions de succès et de satisfaction de tous les types d’actes illocutoires. Searle, en 1954, dit que parler une langue […]

5) Paul Grice

En 1979, Grice énonce que les échanges entre interlocuteurs sont guidés par un principe de coopération, permettant ainsi l’intercompréhension entre les différents membres. Un échange implique un respect de règles communes. Le principe de coopération est donc en jeu dans les situations d’interaction où les interlocuteurs prennent la parole à tour de rôle, ce qui […]

6) Dan Sperber et Deirdre Wilson

Sperber et Wilson ont une vision cognitive du langage. Ils publient leur théorie en 1986 dans un ouvrage nommé Relevance.Communication and cognition. Pour eux, le système cognitif permet de construire une représentation du monde et de l’améliorer. Bracops (2006) explique que la théorie de Sperber et Wilson est une théorie dite vériconditionnelle car la représentation […]

IV. Pragmatique et développement

1) Développement des capacités pragmatiques 2) Théories de l’acquisition du langage 3) Théorie de l’esprit 4) Langage non littéral 5) Pathologies Page suivante : 1) Développement des capacités pragmatiquesRetour au menu : VALIDATION QUALITATIVE DU TOPL-2

1) Développement des capacités pragmatiques

Comme le rappellent Lehalle et Mellier (2005), les compétences du bébé sont présentes dès les premiers mois de vie, car il baigne dans le langage qu’il entend de façon quotidienne. A leur naissance, les nouveau-nés seraient dotés d’une aptitude universelle, leur permettant de comprendre les phonèmes de toutes les langues, puis à partir de 6 […]

Introduction Générale

Les déchets liquides chargés en métaux lourds sont plus dangereux vu que l’eau entre dans la composition de toute entité, vivante ou non et constitue ainsi une matrice pouvant transportés ces polluants un peu partout. Aussi est –il claire que l’industrie soit responsable de la quasi–totalité des rejets des métaux lourds dans l’eau, d’où la […]

Partie Bibliographique

Chapitre I : La pollution des eaux par les métaux lourds I.1 Introduction I.2 Définitions et caractéristiques des métaux lourds I.3 Dangers des métaux lourds I.4 L’eaux et les métaux lourds I.5 Détermination et dosage de métaux lourds I.6 Conclusion Chapitre II : Elimination des métaux lourds des eaux usées par Phytoremédiation II.1 Introduction II.2 […]

Chapitre I : La pollution des eaux par les métaux lourds

I.1 Introduction I.2 Définitions et caractéristiques des métaux lourds I.3 Dangers des métaux lourds I.4 L’eaux et les métaux lourds I.5 Détermination et dosage de métaux lourds I.6 Conclusion Page suivante : I.1 IntroductionRetour au menu : Etude comparative entre deux plantes (Typha latifolia et Phragmites Australis) à accumuler le zinc (Zn)

I.1 Introduction

L’eau est indispensable à la vie sur terre, mais elle est également essentielle au développement industriel et agricole des sociétés humaines. Ce développement accéléré s’accompagne souvent d’une pollution de l’atmosphère et des eaux qui pose un réel problème pour l’environnement. La pollution de l’eau survient lorsque des matières sont déversées dans l’eau qui en dégrade […]

I.2. Définitions et caractéristiques des métaux lourds

I.2.1. Définition : Un métal est une matière, issue le plus souvent d’un minerai ou d’un autre métal, dotée d’un éclat particulier, bon conducteur de chaleur et d’électricité, ayant des caractéristiques de dureté et de malléabilité, se combinant ainsi aisément avec d’autres éléments pour former des alliages utilisables dans l’industrie.(Gérard M, 2001). On appelle en […]

I.3. Dangers des métaux lourds

I.3.1. Impact des métaux lourds sur la santé : Tout d’abord, il est important de préciser que la forme chimique des métaux lourds influence fortement leur toxicité (ions, molécules plus complexes,…). La dose est également un paramètre essentiel dans la caractérisation de la toxicité aigüe. I.3.1.1 Toxicité aigüe : a- Arsenic (As) : Les principaux […]

I.4. L’eaux et les métaux lourds

L’industrie a souvent privilégié les sites à proximité des fleuves pour trois raisons : pour le transport de matières premières, pour l’alimentation en eau, qui permet de refroidir les installations, et pour les possibilités de rejets des effluents industriels. Pendant des dizaines d’années, les fleuves ont hérité des rejets industriels et des eaux résiduaires industrielles, […]

I.5. Détermination et dosage de métaux lourds

I.5.1 Spectrométrie d’absorption atomique (SAA) : La spectrométrie d’absorption atomique est une des méthodes de référence pour le dosage des métaux dans les eaux. Cependant, cette technique n’est pas exempte d’interférences et une étude systématique a été réalisée par le LCPC avec le concours des laboratoires de l’Est parisien et de Lille afin de définir […]

I.6 Conclusion

L’augmentation des activités humaines terribles et surtout que les activités industrielles, y compris la principale cause de contamination de l’eau par les métaux lourds et en raison de la fréquence accrue des pollutions nous oblige à élaborer un programme pour contrer cette menace et l’arrêter avec une des méthodes de traitement pour être plus respectueux […]

Chapitre II : Elimination des métaux lourds des eaux usées par Phytoremédiation

II.1 Introduction II.2 La phytoépuration II.3 Le choix des plantes II.4 Le choix des filtres II.5 Les différentes formes de la phytoremédiation II.6 Conclusion Page suivante : II.1.IntroductionRetour au menu : Etude comparative entre deux plantes (Typha latifolia et Phragmites Australis) à accumuler le zinc (Zn)

II.1.Introduction

La concentration humaine dans les villes implique des effets néfastes sur la qualité des eaux par la production des déchets domestiques et industriels dont les rejets se font très souvent dans les écosystèmes naturels sans traitement préalable. Dans les pays en voie de développement, cette situation s’empire à cause de la multiplicité des installations urbaines […]

II.2.La phytoépuration

II.2.1.Définition : Le terme « phytoépuration » n’est utilisé que depuis très peu de temps. Il est en effet le résultat de la diversification des techniques de « marais artificiels », systèmes plantés d’espèces aquatiques pour le traitement des eaux usées. Ces techniques sont communément appelées « constructed-wetlands » en anglais. (RunyingWang ,2009) Grâce aux […]

II.3.Le choix des plantes :

des études ont démontré le rôle joué par plusieurs espèces de plantes de marécage dans le processus d’épuration, ainsi que l’efficacité des filtres plantés dans cette écotechnologie. II.3.1.Les plantes aquatiques : II.3.1.1.Le Carex : Le nom Carex vient du grec kairo («je coupe») et s’explique par le bord coupant de ses feuilles. Communément appelées laîches, […]

II.4. Le choix des filtres

II.4.1.Les filtres verticaux : II.4.1.1.Le principe : Le filtre à écoulement vertical fonctionne comme un filtre à sable amélioré. Il retient en surface et dans les premiers centimètres de granulats la majeure partie des matières solides qui vont s’accumuler. L’eau ne stagnant pas dans ce type de marais, les matières piégées vont rapidement composter et […]

II.5. Les différentes formes de la phytoremédiation

Connue sous le nom de phytoremédiation « phyto » = plante et « remedium » = rétablissement de l’équilibre, remédiation, la phytoremédiation est définie comme l’utilisation de plantes pour extraire ou transformer les polluants organiques et aussi inorganiques (plus Particulièrement les métaux lourds). (Cunningham S.D,et al,1995)Les aspects technologiques d’efficacité, de coût du traitement et les […]