On dénote deux grandes structures diamétriques :
– Une irrégulière semblable à une distribution plus ou moins en cloche (ou
en cloche tronquée à gauche) avec un déficit marqué de régénération et qui
traduisent un tempérament de lumière et,
– Une inéquienne semblable à une distribution “erratique” qui ne suit aucune
loi et correspondent à des espèces fortement héliophiles (Sogbossi, 2003).
Les peuplements de Chrysophyllum albidum sont fortement menacé de disparition
(IPGRI, 2000), le taux de régénération est assez faible et insignifiant par rapport
aux gros individus. Cet état de chose est dû aux aspects mythiques (la plantation
des individus de l’arbre est interdits aux jeunes villageois, la plante est utilisé par
les sorciers, les étrangers n’ont pas la priorité de disposer des peuplements
importants de l’espèce), aussi il faut que les fruits tombent pour que les quelques
graines germent ce qui affecte la pérennité de l’espèce. Chrysophyllum albidum est
classé en huitième position parmi les espèces menacées en termes de
consommation au Bénin.