La mémoire à été très largement définie car c’est un concept très complexe à cerner. Selon l’académie française, la mémoire est « la faculté qu’a l’esprit de fixer, de conserver et de rappeler des idées, des connaissances acquises, des événements, des images, des sensations, des états de conscience antérieures ».
Piris et Dubois, se basant sur les travaux de Tiberghien et Kekenbosch précisent que « les éléments stockés en mémoire se trouvent dans une zone bien précise du cerveau et ne peuvent être évoqués qu’à l’issue d’un processus de recherche mentale ». Donc un client en magasin doit faire un effort mental pour chercher une information stockée et pour retrouver une information précise.
De plus, la mémoire peut se diviser en deux formes particulières. On peut distinguer la mémoire à court terme, et la mémoire à long terme.
Mémoire à court terme : il s’agit ici de la mémoire de travail. L’individu peut retenir que très peu d’information. Le stockage de l’information se fait de manière temporel.
A titre d’exemple, nous pouvons retenir seulement 7 informations pendant une à dix secondes.
Mémoire à long terme : elle correspond à la mémoire des souvenirs. Avec cette mémoire, tout ce qui nous marque est stocké pour une durée et une quantité illimitée. Elle se décompose selon Piris et Dubois en trois phases :
Codage -> Stockage -> Organisation des informations
Il existe également selon eux d’autres variantes de la mémoire, nous retrouverons la mémoire épisodique et sémantique :
La mémoire épisodique : elle se définie par les souvenirs occasionnés par le vécu d’un individu, son expériences propre, temporellement datée et localisée.
La mémoire sémantique : elle se base sur les connaissances générales des individus qui sont peu affectées par les éléments de contexte.