L’intérêt général de la prédétermination du débit maximum probable des crues d’un cours d’eau, en un point donné est évident, en raison des effets destructifs bien connus de ces cataclysmes hydrologiques et de la nécessité de dimensionner certains ouvrages d’art comme celui dont la présente étude fait l’objet.
De très nombreuses études ont été effectuées par les hydrologues, les statisticiens et les ingénieurs sur le débit maximum probable de crue sur les cours d’eau les plus divers. Cependant, la multitude de variables qui d’un contexte à l’autre deviennent des inconnues font que tous ces travaux n’ont pas encore abouti à « la mise au point d’un corps de doctrine universellement admis » pour la prédétermination du débit maximum de crue probable.
Au-delà des connaissances, l’exactitude des études hydrologiques dépend beaucoup de l’expérience de l’ingénieur qui l’instruit. Cette expérience qui permettra d’appliquer les justes coefficients de sécurités ou encore qui permettra de savoir qu’elle méthode utiliser suivant le contexte.
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