Si dans 10 ans je dois me projeter sur ma carrière professionnelle, la créativité entrepreneuriale est ma première ancre de carrière. Dans cet optique en recherchant un peu plus d’informations sur « comment entreprendre ? », l’intrapreneuriat est apparu comme une nouvelle forme d’entreprendre mais encore peu connue.
De ce fait il m’a semblé intéressant de creuser un peu plus le sujet, d’analyser les différentes composantes mais aussi d’apporter une réflexion d’un point de vue des Ressources Humaines, plus généralement d’un Manager mais aussi de se positionner dans un contexte où la dictature du temps est inhérente au système, la rentabilité est maîtresse au royaume de la mondialisation, et où les pressions subies sont de plus en plus fortes.
Cette étude me permet aussi d’apporter des solutions, de nouvelles méthodes d’analyses qui pourraient être utilisées en entreprise ; peu importe la taille, peu importe les ressources, le but étant de comprendre le concept et de l’intégrer de manière efficace dans une optique d’efficience. En effet lorsque l’on fait référence à l’innovation, on peine à penser que l’être humain est la première source d’innovation.
Ainsi au préalable de cette étude, je me suis questionné sur la conjoncture actuelle, les modifications importantes que nous vivons dans le monde du travail (compétitivité accrue dût aux pays émergeants, instabilité financière mondiale, politique de rentabilité, importance des NTIC, utilisation accrue des réseaux sociaux…) il était alors nécessaire de redéfinir un nouveau mode de management, entrant dans l’ère du post-knowledge management.
Suite à un raisonnement de l’environnement actuel, il m’a semblé que l’employé d’aujourd’hui (dans la majorité des entreprises) est plus considéré comme un outil de production qui doit sans cesse accroître son rendement (L’homme machine1), qu’un individu pensant et réactif à son environnement. Ce formatage tend à nous faire oublier qu’il n’y a pas d’entreprise sans individu.
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