Les facteurs structurels entraînent une souffrance plus difficile encore à juguler que la confrontation au danger : état d’alerte permanent imposé par l’exigence d’être prêt constamment à réagir à toute éventualité, alternance de surcharge de travail et de périodes d’inactivité forcée, nombreuses inconnues au départ d’une intervention, prise de décisions vitales en urgence, horaires rotatifs, pénurie de personnel, vétusté des équipements, mode de gestion et exercice de l’autorité hiérarchique, conflits au sein de l’équipe, etc.