Je suis satisfait du dénouement de cette situation qui, au départ, était pour moi une
situation difficile. Difficile parce que j’avais des préjugés par rapport à l’assistant
social à qui j’ai soumis la demande de madame T. Je me disais avoir demandé un
peu trop car le montant initial avait été légèrement augmenté pour couvrir le loyer
mensuel d’une chambre à un lit. J’étais un peu sous pression parce que j’avais très
vite rassuré madame T. Cela m’a poussé à aller jusqu’au bout dans ma confrontation
avec l’assistant social du CPAS. Le fait que cet assistant social s’occupe aussi de la
prise en charge des pensionnaires dans la maison de repos du CPAS de Molenbeek
Saint-Jean, a joué positivement sur le dossier de madame T.