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DE LA RÉINSERTION A LA PRÉVENTION DE LA RÉCIDIVE : QUEL PROCESSUS DE PROFESSIONNALISATION POUR LES CONSEILLERS PÉNITENTIAIRES D’INSERTION ET DE PROBATION ?

Remerciements
Sigles et abréviations
Introduction générale
Première partie : Les CPIP dans un contexte d’évolutions politiques, législatives et institutionnelles constantes
Introduction de la première partie
Chapitre 1 : La création des SPIP dans un contexte de remise en cause du travail social
1-1 Un travail social contesté
1-2 La création des SPIP en 1999
Chapitre 2 : Un contexte juridique et des logiques pénales en profondes mutations
2-1 La construction politique de l’objet « dangerosité »
2-2 La juridictionnalisation de l’application des peines et le développement massif des aménagements de peine.
Chapitre 3 : Les CPIP au sein des Services Pénitentiaires d’Insertion et de Probation
3-1 Une filière insertion et probation en constante augmentation entre 2004 et 2010
3-2 La formation initiale des Conseillers Pénitentiaire d’Insertion et de Probation
3-3 Les CPIP, un groupe professionnel majoritairement féminin, fortement diplômé, principalement en droit.
3-4 De nouvelles méthodologies de travail
Chapitre 4 : Genèse d’un changement de nom
4-1 Une circulaire décriée
4-2 Les premières réponses de l’Administration Pénitentiaire : un abandon de toutes références au caractère social des missions des CIP
4-3 Une phase de négociation bilatérales entre le SNEPAP-FSU et l’Administration Pénitentiaire
4-4 Deux décrets statutaires et indiciaires(29) créent les Conseillers Pénitentiaires d’Insertion et de Probation.
Conclusion de la première partie
Deuxième partie : Les traductions structurelles de ces évolutions
Introduction de la deuxième partie
Chapitre 5 : Une organisation des services profondément modifiée
5-1 La création d’une hiérarchie dans les SPIP
5-2 Une perte de reconnaissance sur le terrain comme acteurs de la prévention de la récidive
5-3 Le déménagement hors des SPIP et le développement de l’écrit
Chapitre 6 : Un discours de légitimation de ces évolutions porté par l’Administration Pénitentiaire
6-1 L’autonomie
6-2 L’expertise
6-3 La revalorisation indiciaire, une stratégie de distinction avec les assistant(e)s de service social?
Conclusion de la deuxième partie
Troisième partie : Des pratiques professionnelles en mutation
Introduction de la troisième partie
Chapitre 7 : Savoirs d’action et autonomie professionnelle
7-1 Des savoirs d’action pour le PSE
7-2 Une autonomie dans la mise en oeuvre des programmes de prévention de la récidive
Chapitre 8 : Des professionnalités et des savoirs émergeants
8-1 Une systématisation de la surveillance électronique depuis 2009
8-2 Un espace de réflexion collective en construction
8-3 Des visites à domicile plus rares
8-4 Un monopole partagé avec les surveillants pénitentiaires dans le suivi des PSE
Conclusion de la troisième partie
Quatrième Partie : Un groupe professionnel invisible ?
Introduction de la quatrième partie
Chapitre 9 : Une non adhésion au nom de CPIP
9-1 Une polysémie dans la désignation des CPIP déjà ancienne
9-2 Une utilisation alternative de la dénomination officielle selon les interlocuteurs par les CPIP
9-3 Un déficit de représentation et d’image
Chapitre10 : Une socialisation professionnelle problématique
10-1 Un abandon progressif du modèle vocationnel
10-2 Quatre modes de socialisation professionnelle depuis 2001
10-3 Une forte segmentation professionnelle
10-4 Des pratiques en manque de relais
Conclusion de la quatrième partie
Conclusion générale
Bibliographie
Annexe 1 : L’échantillon
Annexe 2 : La grille d’entretien
Annexe 3 : Le mouvement de 2008 dans la presse écrite
Annexe 4 : Le statut des CPIP
Annexe 5 : Le Code de déontologie pénitentiaire
Annexe 6 : Les programmes de prévention de la récidive
Résumé